III- c) Les solutions pour protéger notre planète.

Protéger l’environnement c’est préserver l’avenir de l’homme. Le problème majeur du XXIème siècle est donc de limiter le réchauffement climatique. Pour se faire, le développement durable met en place plusieurs moyens. La France est notamment en danger par la pollution de l’air, la transition vers une économie verte est urgente.

Dans le monde, 13% de la surface de la terre, 7% des eaux côtières et 1% de la surface des océans, seulement sont protégés.

En 2011, les émissions de gaz à effet de serre issus des transports, recensées 132,5 millions de tonnes équivalent CO2. Et l’objectif pour 2020 est de réduire ses émissions de gaz à effet de serre issus des transports afin d’arriver à 119,5 millions de tonnes équivalent CO2.
L’énergie est un secteur à économiser et pour cela nous mettons en place des voitures hybrides qui polluent moins.

Préserver la planète ne passe pas uniquement par la mise en place de moyens importants. Chaque citoyen peut apporter sa contribution, en optant pour des habitudes plus écologiques. Simple et efficace, ce principe permet de réduire de façon conséquente les émissions de gaz polluants dans l’atmosphère. Parmi les gestes citoyens, pensez à réduire votre consommation d’eau. Trésor inestimable, dont la valeur est mal appréciée dans les pays développés, l’eau commence à se raréfier partout dans le monde. En effet, la quantité d’eau douce est infime sur la planète, 97,5 % de l’eau disponible étant salée.
Beaucoup de choses peuvent être faites. Pour diminuer la consommation d’énergie, réduire la production de déchets et la pollution, nous devons certainement changer quelques-unes de nos habitudes.
Près de cent quatre-vingt-dix pays ont adopté un plan stratégique pour 2020 fixant vingt objectifs pour protéger la nature et freiner le rythme alarmant de disparition des espèces. Parmi ces objectifs, l’augmentation sensible des aires protégées de la planète. Elles représentent actuellement 13 % de la surface totale des terres et un peu moins de 1 % de la surface totale des océans : un compromis a été trouvé pour un objectif 2020 de 17 % pour les terres et 10 % pour les mers.

LE CANADA SE RETIRE DU PROTOCOLE DE KYOTO

Pour sauver la planète, les chefs d’Etat et les industriels du monde entier vont devoir se mobiliser. Les accords internationaux déjà signés, comme le protocole de Kyoto, et les efforts des multinationales ne sont pas à la hauteur du défi. Il faut passer au plus vite de la prise de conscience à l’action. Le protocole de Kyoto est un traité international ayant pour objectif de réduire les gaz à effet de serre. Acté en 1997, il est le prolongement de la Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC) adoptée en 1992 au sommet de la Terre à Rio de Janeiro (Brésil). L’objectif du protocole de Kyoto est de parvenir durant la période d’engagement 2008-2012 à la réduction des émissions de gaz à effet de serre dues à l’activité humaine. Seuls 37 pays industrialisés se sont réellement engagés sur les objectifs de ce dispositif. En pratique, les sanctions consécutives au non respect du protocole de Kyoto n’ont jamais été clairement définies. Lors de la Conférence de Durban en décembre 2011, les Parties se sont entendues sur une feuille de route visant un accord en 2015 englobant tous les pays pour lutter contre le réchauffement climatique. Cet accord devrait entrer en vigueur à partir de 2020

Si l’homme continue à dégrader la planète, d’ici trente à quarante ans, son bien-être sera menacé.

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